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L’Affaire Dreyfus : une vaste duperie et une trahison sociale

 

 

Le pape Léon XIII, pape social ayant ordonné à tous les catholiques le ralliement à la République, en précisant à une République sociale et fraternelle, tous les français à peu d’exceptions près, à cette époque, allaient donc devenir des républicains sociaux, soit pour les uns par conviction personnelle, soit pour les autres par obéissance aux volontés du Pape.

Cela ne pouvait pas faire l’affaire des profiteurs de droite, ni des profiteurs de gauche, dont la devise a toujours été : diviser pour régner.

Et l’affaire Dreyfus a surgi… pour empêcher la fusion et rediviser la France en deux groupements.

 

L’affaire Dreyfus a été montée, créée, orchestrée uniquement pour faire échec au ralliement de tous les français à la République, non à une République telle qu’elle existe à l’heure actuelle, mais à une République fraternelle, de justice sociale.

C’est au moment, ou le Ralliement de tous les Français, à la République allait s’opérer, et qu’une ère de fraternité française allait naître ; c’est au moment où les partis de droite devenaient sociaux et se mettaient hardiment, fraternellement la main dans la main, à fréquenter et à aider la classe ouvrière, que l’affaire Dreyfus préparée par tous les profiteurs (de droite, de gauche, du centre, par tous les pilleurs d’épargne) a surgi, pour rediviser les Français, empêcher leur union et pouvoir ainsi plus facilement, en les dressant les uns contre les autres : les piller, les voler, les faire massacrer.

Ainsi que cela a lieu encore à l’heure présente…

 

Historique de l’affaire Dreyfus :

En 1894, un officier des bureaux de l’Etat-Major, le capitaine (juif) Dreyfus est accusé à tort, par ses chefs, d’avoir trahi en remettant à l’ambassade d’Allemagne un document manuscrit, que l’on a appelé « Le Bordereau » apporté, de l’Ambassade d’Allemagne, dans les Bureaux du service du Contre-espionnage français, par une certaine Mme Bastian, espionne, qui était employée « comme femme de ménage française !!! » à l’Ambassade d’Allemagne !!!

Le Bordereau fut attribué à Dreyfus car l’écriture de cette pièce ressemblait beaucoup à la sienne.

 

Or, à moins d’être complètement idiot, complètement crétin, la personne qui était venue apporter ce Bordereau devait être considérée comme suspecte, tout comme devait être considérés comme plus que suspects les papiers qu’elle apportait !

Puisque l’on savait que cette personne était Mme Bastian, française !, allant faire des heures !!! comme femme de ménage !!! à l’Ambassade d’Allemagne !!! pour ramasser des papiers !!! dans certaines corbeilles !!! (corbeilles bien entendu toujours préparées à l’avance pour elle !!! - pour elle qu’on appelait : « La voie ordinaire !!! - la voie ordinaire d’imbéciles !!!).

 

Et l’avenir a prouvé qu’il fallait être en effet ou idiot ou crétin ou faussaire soi-même pour attribuer une valeur quelconque à cette documentation puisqu’il a été établi :

1° Que le Colonel Henri, un des chefs de ce Bureau du Contre-espionnage, a lui-même fait des faux – et qu’il a dû se suicider (ou qu’on l’a suicidé… !)

2° Que c’est un abominable coquin, l’ignoble commandant, comte Waslin Esterhazy (Autrichien naturalisé) qui a écrit le Bordereau en imitant l’écriture du capitaine Dreyfus soit pour trahir, soit pour lancer l’affaire Dreyfus pour le compte des cosmopolites et des politiciens marrons, qui avaient grand intérêt à diviser les Français à ce moment !

 

Le Capitaine Dreyfus passera donc devant un premier Conseil de Guerre et comme ceux qui s’acharnent après lui – les Officiers de l’Etat-Major et les généraux de jésuitières – craignent que le bordereau ne soit pas suffisant pour amener une condamnation, ils préparent un dossier supplémentaire avec de faux papiers et sans que la défense ni l’accusé en aient eu connaissance ; et font secrètement parvenir ce dossier, avec ses faux, aux juges du conseil de guerre, durant leurs délibérations !!

Ce qui provoque la condamnation du Capitaine Dreyfus, qui est dégradé, et envoyé au bagne à l’Ile du Diable.

Mais ces manœuvres abominables et illégales ayant été connues, de violentes campagnes de Presse et de Réunions, eurent lieu, provoquées par les Dreyfusards, qui combattaient pour le droit, la vérité et la justice.

Différentes révisions de différents Conseils de Guerre eurent lieu, ainsi que de nombreux Procès divers, et chaque fois ces Conseils de Guerre recondamnèrent de nouveau le Capitaine Dreyfus.

Pendant dix ans que durèrent ces différents jugements, l’affaire Dreyfus se développa et grandit, etc., etc.

Pour se terminer en 1904, par la révision des jugements qui avaient condamné Dreyfus.

Les chambres réunies, convoquées le 15 juin 1904, rendirent leur arrêt le 12 juillet 1904 : le jugement du dernier Conseil de Rennes est cassé – cassé sans renvoi, et Dreyfus est réhabilité…

 

Il ne subsistera plus de l’Affaire qu’un formidable ébranlement, une formidable division qui dure encore entre français, la pays ayant été séparé en républicains catholiques et en républicains laïques, les premiers appelés républicains de droite et les autres républicains de gauche. Il ne sera plus question de justice sociale, les partis de droite et de gauche ayant toujours établi entre eux une séparation toujours la même : la lutte religieuse !

 

L’affaire Dreyfus a été, est et demeurera une duperie appelée à masquer une trahison sociale, une main mise sur le pays. Cette affaire a été orchestrée et jouée par les jésuites et profiteurs de droite, par les jésuites francs-maçons profiteurs de gauche, avec une bande d’hommes politiques à tout faire et d’illusionnés, manoeuvrant tous les partis.

L’affaire Dreyfus a été pour la France :

1° Une immense escroquerie sociale pour diviser le pays, et le maintenir divisé.

2° Le plus abominable des crimes contre les Français et contre la natalité française, puisque ses suites et ses conséquences ont conduit en 1914 à la guerre les Français désarmés, dont 2 millions sont morts et dont autant sont revenus gazés ou mutilés !

3° La destruction la plus formidable des finances françaises, engloutissant depuis cette époque et jusqu’à maintenant les milliards du patrimoine français, pour les remplacer par des milliards de dettes.

 

Dès 1904, un des plus célèbres écrivains de l’affaire Dreyfus : Urbain Gohier (qui avec Vaughan, Clemenceau et tant d’autres avait contribué à la défense de Dreyfus) faisait paraître sous ce titre : Histoire d’une Trahison (par Urbain Gohier) un libre établissant que les honnêtes gens de tous les partis, avaient été trompés par toute une bande de faux bonshommes et d’arrivistes, que le pays avait été sciemment divisé et trompé par ces profiteurs de droite, de gauche, du centre !

Dans la préface de son livre, Urbain Gohier indiquait avec preuves à l’appui que l’affaire Dreyfus n’avait été qu’une immense duperie mettant aux prises la Passé et l’Avenir, le Passé, plein de compromissions, « pour le sauver », et retarder l’Avenir, plein d’espérances sociales !!!

L’Affaire Dreyfus a été montée, orchestrée, arrangée, préparée et lancée comme une lame de fond, sur toutes les consciences françaises, obligeant tous les citoyens à prendre parti, selon leur communauté d’éducation ou d’intérêts…

Réunissant de nouveau : en parti de droite, anti-Dreyfusard, tous les vestiges et partisans des anciens régimes, aristocrates, militaires, clergé, catholiques, etc. : c’est-à-dire tous ceux que la Pape avait voulu rallier à une République sociale !

Alors que par contre les partis de gauche, voyaient grossir leurs rangs d’une foule toujours accrue, d’écrivains, d’intellectuels, de citoyens jusque-là détachés de toutes luttes politiques, mais qui s’étaient déclarés Dreyfusards, pour soutenir le droit, la vérité, la justice, en espérant que de ce conflit entre le Passé et l’Avenir il en résulterait l’avènement de la vraie République, d’une République fraternelle et sociale…

 

Un seul et unique point reste acquis pour la foule, dans tous les partis, c’est l’immensité de la bêtise humaine (qui seule, en effet, peut donner une idée… de l’infini… !!!)

Seule la bêtise humaine, seul le manque de sens critique a permis à la foule d’accepter pour vrai le point de départ stupide, enfantin, de l’affaire Dreyfus ! Puisque toute cette affaire n’a été crée, développée, imaginée, triturée pendant des années, et des années, que pour diviser la France… et qu’elle ne repose uniquement que sur des faux papiers, apportés au service de contre-espionnage français (et selon cette idiotie inadmissible !) apportés par une Mme Bastian, « une femme de ménage française ! qui allait faire des heures à l’ambassade d’Allemagne… pour vider spécialement les corbeilles à papiers des attachés militaires allemands !!! Lesquels bien entendu, faisaient préparer ces corbeilles, exprès pour elle !)

 

Un enfant de dix ans à qui on raconterait une pareille histoire, s’il a un peu de bon sens, dirait immédiatement qu’une Ambassade est assez riche pour avoir son propre personnel, qu’il était inadmissible que la femme de ménage française, Mme Bastian, ait été engagée dans ces conditions (par l’Ambassade d’Allemagne) autrement que pour faire ce qu’elle a fait, récolter des faux papiers, qui étaient volontairement mis à sa disposition pour qu’elle les porte, à tous les imbéciles, qui accordaient une valeur quelconque à une pareille documentation !

L’histoire idiote, stupide, du fameux bordereau, apporté par la femme de ménage française, a été relatée, sans aucune exception, comme la chose la plus naturelle par tous ceux Dreyfusards ou anti-Dreyfusards qui ont publiés des livres, ou brochures, sur les débuts de l’affaire Dreyfus !

C’est sur un pareil point de départ qu’a débuté l’affaire Dreyfus, avec toute sa procédure, ses jugements, cassés et réformés, les uns après les autres… au fur et à mesure que l’on s’apercevait que cette affaire ne reposait que sur des faux !! dont certains même avaient été faits par un des chefs français du service du contre-espionnage, le colonel Henry, qui emprisonné après ses aveux, a été trouvé le lendemain, dans sa cellule, suicidé, ou tué, la gorge ouverte, d’un coup de rasoir…